Après avoir longuement erré ...

Distributeur de BAFFES

Après avoir longuement erré en ville, ne faisant attention à personne, Marchant la tête basse sans savoir ou il allait, mené par un besoin de s'isolé, il termina sa marche dans le parc.

Le vent rendait le fond de l'air assez froid, il n'était vetu que de sa chemise et avait un peu froid. Il ne rebroussa pourtant pas chemin. Le parc semblait vide ... cela lui convenait tout à fait, c'est ce qu'il recherchait.

Il parcourait tranquillement les allées du parc ou même les oiseaux se faisaient rares. Ce silence appaisant était ce qu'il était inconsciement venu chercher.
Il en voulait à la terre entiere, s'imaginait pleins de choses ... Cela allait très vite dans son esprit.
Depuis qu'il était dans le parc, même s'il continuait de ressasser ses évenements, il se sentait plus calme.

Il s'installa dans un coin un peu a l'abri du vent et observa longuement le paysage... en essayant d'oublier

Invité

Le vent soufflait depuis ce matin, et malgré la période, il n’etait pas si froid, pourtant toute la campagne semblait figée, son cheval au galop avait un souffle puissant et semblait haletant, la position d’amazone n’etait pas confortable, mais maintenant qu’elle habitait en ville, elle ne pouvait contre toute bienséance se promener en habit d’homme comme elle aimait le faire à la campagne à langres.
Arrivant près du bois qui servait de parc à Montel, elle crut apercevoir un homme un peu en retrait et cet homme ne lui était pas inconnu, elle fit ralentir son cheval et s’avança au pas vers celui-ci.
Il avait l’air taciturne et le regard perdu dans le vide insondable de pensées tourmentées.

« et bien l’ami, je vous reconnais, nous nous sommes déjà croisés , je vous vois un peu préoccupé, et peu serein.
Est-ce que je me trompe ?
quelle est cette ombre qui voile ainsi ce regard franc que vous avez habituellement.
Ou bien suis-je indiscrète d’ainsi m’immiscer dans cet isolement que vous semblez affecter auprès des gens de votre communauté, seriez vous déçu de l’attitude de certain ? ou peut-être de certaine ?
vous me semblez bien triste cependant alors que le vent ne cherche qu’à vous réveiller plus qu’à vous soumettre et le soleil à vous chauffer plus qu’à vous brûler »

je regardais cet homme au regard si paisible qui semblait pourtant empli de dépit à cet instant même.

Les feuilles rousses et jaunes des platanes et des bouleaux alentours volaient de ci de là, en larges bourrasques.
De jolis tourbillons semblaient vouloir faire un pied de nez à la terre entière sous le regard dubitatif de quelques pigeons dont la course effrénée s’etait arrêtée , on ne sait pourquoi, au pied du cheval qui les regardait perplexe de sa grande hauteur. Les naseaux soufflant encore l’air chaud et vicié de ses poumons. Il regardait sa maîtresse et cet étrange personnage qu’il ne connaissait pas.

Celui-ci, d’ailleurs, loin de me répondre avança vers le cheval lui flatta l’encolure et me dit :
« bien belle bête que vous avez là, Gente Dame. »
je me levais, et m’approchais de lui, flattant à mon tour mon cheval, je lui répondis :
« ce n’est point de moi, ni de mon cheval dont il est question, mais de vous, cher ami, qu’en est-il ? me laisserez vous vous aider comme je suis des plus habiles à le faire, car j’ai le Don. »

Invité

Fredido ne répondit pas et s'en retourna s'assoir, prit sa tête lourde de douleur entre ses mains...

je le regardai, et ne dis plus rien, il me restait un peu à faire, je le laissai donc à sa douleur et m'en retournai chez moi...

on ne peut aider et on a surtout pas le droit d'aider qui ne veut pas l'être, c'est ainsi.. Don et Orgueil ne se mèle pas... si un jour, il a besoin d'aide, il saura où me trouver, il n'est point sourd à ce que je sache...

je repartis rejoindre mes enfants...

» probleme qui n'a rien avoir avec les royaumes