Bienvenue

Cossane sort et visite le jardin.

Cossane est heureuse comme une petite fille a qui ont offre une poupée et applaudit!

Josselin se présenta à la porte de la maison de ses amis...

Il avait apporté une pleine brassée de fleurs venant de son jardin pour Cossane...

Il frappa à la porte et appela "Cossane" ?

Revenant sur ses pas Josselin se dit que finalement Cossane et lui n'avaient pas de chance dans leurs visites respectives...

il laissa les fleurs et repartit chez lui...

Aelgerias arriva devant ce qui etait sa future maison et il resta devant sans rien dire..
apres quelques minutes de contemplation il se dirigea vers l'entrée et il entendit une voix de femme chanter a l'intérieur..
Il souria, il pensa qu'il n'avait encore jamais entendu chanter sa bien aimée.
Il entra donc sans bruit et la vit poser un vase de fleurs sur une etagere.
Il s'approcha sans bruit, lui laissant le temps de poser le vase puis posa ses mains sur sa taille et lui dit tout simplement


Bonjour mon amour tu ne peux pas savoir a quel point tu m'as manqué....

Aelgerias enlassa sa bien aimée pendant ce qui semblait une eternité...

Oui ma douce cela fait fort longtemps que l'on ne s'etait pas vu, mais sache que je n'ai pas cessé de penser a toi durant tout ce temps...



Il comtempla l'interieur de la maison et tomba de suite sous son charme
hé bien ma fois, tu as du y passer du temps a amenager tout ca?? en tout cas c'est vraiment charmant, on sent tout de suite ton influence sur la decoration, on a envie de rester indefiniment en ces lieux^^

Il se retourna vers cossane puis l'embrassa tendrement à nouveau

Je t'aime tant...

Apres avoir embrassé sa bien aimée comme il le faut il lui dit

tu me fait visiter les lieux ma douce?
j'ai hate de connaitre chaque recoin de notre demeure..

Aelgerias la regarda tendrement et l'embrassa longuement avant de soupirer de bonheur

Evidemment qu'on va etre bien puisque on est enfin ensemble^^
et puis on pourra toujours agrandir la maison si tu la trouve trop petite, avec nos amis ca peut aller vite^^

La nuit, n'allait point tarder à tomber. Fatiguer d'avoir rentrer ses sacs de maïs et las d'un voyage difficile, Oxor, arriva enfin à l'adresse que lui avait communiquer Cossane.
Cette derniere, lui était devenue une amie, mais, à cet heure, Oxor, ne savait point la réaction d'Aelgerais.
A peine troublé par cette derniere pensé, Oxor, frappa à la porte.
Son coeur battait dans sa poitrine, car il allait enfin découvrir, celle qui ne connaissait que par messages interposés.

Toc ! Toc !

un doute s'insinua, dans la pensé d'Oxor "Et si elle n'était pas la !"
Celà voudrai dire qu'il aura fait tout ce chemin pour rien !
"Non, il ne peut en être ainsi !"
Le loquet de la porte, s"abattit plus fort.

Toc ! Toc ! Toc !

Oxor, fut de suite charmé, par le merveilleux sourire de Cossane. L'accueil avait été chaleureux, la voix angélique. Dès l'ors, toute ses craintes se dissipérent.

Bonjour, Gente Dame Cossane.

Une agréable odeur de cuisine, lui arriva aux narines.

J'espère que je ne vous dèrange point. Je doute si vous avez reçu mon message qui annonçait ma visite chez vous. Je ne voudrai guère paraître opportun, aussi... si vous ètiez en train de passer à table, je peux revenir à une heure qui vous conviendra...!

Oxor, fut lui même étonnait, de la vitesse de la phrase. Certes, la personne de Cossane, lui fesait le plus bel effet. Et il se découvrit à l'instant, une timidité qui ne soupçonnait point.

Oxor, fut agréablement surprit, par la très belle cuisine.
Jamais de mémoire, il n'avait foulé piéce aussi magnifique.
Une belle et grande cheminée, en pierre, d'ou s'échapper le fumé délicieux d'une marmite en cuivre.

Le village de Montélimar, par ces ruelle étroites, ressemble à tant d'autre village traversé.
Mais ce qui fait son charme, s'est la formidable gentillesse de ses habitants.
Vous en êtes, Gente Dame, la preuve vivante.
Je n'ai guére, faute d'écus, goûter à sa spécialité. le soit disant Nougat de Montélimar. Fait si je ne m'abuse de miel et d'amande, mélanger dans du blanc d'oeuf.

Oxor, ne quittait pas des yeux Cossane. Il parlait avec elle, comme à une amie connu de longue date.
Elle cuisinait avec une grande destéritée.
C'est alors, qu'Oxor, aperçu une veste d'homme, accroché sur un bois de cerf.

Votre homme, n'est point là ? s'étonne Oxor.

Sans même attendre la réponse, Oxor, répondit à Cossane, au sujet de l'hébergement :

Ce n'est point, que votre proposition ne m'enchante guére, mais j'ai pour seule règle, de ne point déranger les gens.
Certes, il est vrai que votre domicile est spacieux, qu'il dégage une atmosphère ou il fait bon vivre.
Je ne doute point de l'accord de votre Homme, qui pour trouver en vous, si charmante compagne, ne doit nullement manquer de bon sens.
Et je serai près à parier, qu'il vous ressemble.

Oxor, se rendait bien compte, que ces paroles du refut de l'hébergement, aller à l'encontre de ce qu'il pensait.
Mais il savait aussi, qu'il ne pouvez point s'insinuer dans ce bien gentil couple.

Certes, Gente Dame Cossane, ma maison resemble fort à une cabane délabrée.
Mais, je compte ammassait un peu de pécule, pour la rendre luxieuse, tant il est vrai que je compte une fois riche, trouver charmante épouse, pour partager ma vie.