Montélimar Forum de la ville des Royaumes Renaissants |
| | La confession de Azuryka | |
| | Auteur | Message |
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CristofDeReims Officier de l'ORM
| Sujet: La confession de Azuryka Ven 22 Sep - 7:42 | |
| Ce matin, Pépé entendit une petite voix anonyme et féminine qui lui susurra :
je fais quelque chose de mal...
je suis amoureuse de joss mmais je ne veux pas detruire son couple donc je me suis lancé dans une relation avec quelqu'un et je le trompe avec un autre en cachette..que dieu me pardonne...
Et bien ma fille, voilà qui n'est pas raisonnable !
Qui que tu sois, il faut rester sage en Amour. Je crains que tu ne mélanges sentiments, désirs et envie de vivre à deux pour toujours. L'Amour seul contient les trois...
Essaie de te raisonner, et récite avec moi cette prière de contrition :
Aristote, toi si puissant, écarte de moi, Toute préoccupation de vanité, Tout désir d’être loué, Tout sentiment d’envie, De gourmandise, De paresse et de luxure, Tout mouvement de colère, Tout appétit de vengeance, Tout penchant à souhaiter du mal à autrui Ou à m’en réjouir, Tout plaisir à provoquer la colère, Toute satisfaction que je pourrai éprouver A admonester qui que ce soit Dans son affliction et son malheur,
Rends-moi seigneur bon, humble, et effacé Calme et paisible charitable et bienveillant Tendre et compatissant
Qu’il y ait dans toutes mes actions, Dans toutes mes paroles Et dans toutes mes pensées, Un goût de ton esprit saint et béni
Toi qui nous voit, qui nous entend, Fait de sorte que tous ces gens, Demain, puissent se nourrir à leur aisance, Qu'ils puissent trouver du travail à convenance.
Et enfin, de ton regard de Saint Père, Puisse tu nous bénir de ta grâce, Face aux ténèbres qui se disent mères, Mais qui pourtant restent une menace.
Mon Créateur, tu es le guetteur de nos malheurs, Que ta Lumière m'éclaire demain comme hier, Et que dans nos coeurs demeure ta claire grandeur, Pour que les âmes damnées errent dans ce sombre Enfer. | |
| | | azuryka
| Sujet: confessions Ven 22 Sep - 12:25 | |
| fait son signe de croix et dit : Aristote, toi si puissant, écarte de moi, Toute préoccupation de vanité, Tout désir d’être loué, Tout sentiment d’envie, De gourmandise, De paresse et de luxure, Tout mouvement de colère, Tout appétit de vengeance, Tout penchant à souhaiter du mal à autrui Ou à m’en réjouir, Tout plaisir à provoquer la colère, Toute satisfaction que je pourrai éprouver A admonester qui que ce soit Dans son affliction et son malheur,
Rends-moi seigneur bon, humble, et effacé Calme et paisible charitable et bienveillant Tendre et compatissant
Qu’il y ait dans toutes mes actions, Dans toutes mes paroles Et dans toutes mes pensées, Un goût de ton esprit saint et béni
Toi qui nous voit, qui nous entend, Fait de sorte que tous ces gens, Demain, puissent se nourrir à leur aisance, Qu'ils puissent trouver du travail à convenance.
Et enfin, de ton regard de Saint Père, Puisse tu nous bénir de ta grâce, Face aux ténèbres qui se disent mères, Mais qui pourtant restent une menace.
Mon Créateur, tu es le guetteur de nos malheurs, Que ta Lumière m'éclaire demain comme hier, Et que dans nos coeurs demeure ta claire grandeur, Pour que les âmes damnées errent dans ce sombre Enfer. | |
| | | | La confession de Azuryka | |
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