Ce Sept Mars, CristofDeReims entrait dans l'Eglise en tant que futur Curé de la Paroisse. C'était une grande joie pour lui.
Hélas, il avait le coeur triste, car la veille, fatigué par une longue journée, il avait été désagréable avec un brave homme et avec une paroissienne de ses amies.
Il s'avança vers le prie dieu du confessionnal et s'adressa au Grand-Pardonneur :
"Oh Grand Pardonneur, prend pitié de moi, car j'ai péché.
Hier soir, après une longue journée, je devais encore former mes deux nouveaux sergents DameGinette et Babyloncircus. J'avais pour cela réservé une taverne isolée et peu fréquentée, les Armoiries de Josselin. Cette taverne gagne d'ailleurs à être connue.
Hélas, au lieu du réunion discrète, plusieurs passants virent de la lumière et nous rejoignirent : Carnil, notre maire, Mamadoutem, vaillant soldat, et Myst, notre recenseur, fidèle épouse de notre maire.
Après les deux premières interruptions, je fus vivement désapointé de voir arriver Myst, et la priai un peu sèchement d'aller au Nougati.
Pourquoi avait-il fallu que dans de monde passa nous voir aux Armoiries ?
Je vois bien que Mamadoutem et Myst ont été déçus de mon comportement, et je voudrais me racheter.
J'espère que d'avoir confessé mes fautes me permettra d'assumer mieux ma culpabilité et ma honte.
Je me remets entre tes mains, Grand Pardonneur.
Je ne réclamerais plus de bisou sur le front à Myst,
je serais encore plus aimable avec Mamadoutem et Carnil.
J'offrirai à chacun un verre de thé parfumé, au Nougati.
Pardonne-moi au nom d'Aristote notre Guide.
CristofDeReims se releva du prie-dieu et s'inclina devant la Sainte Croix. Puis il harmonisa les quelques fleurs qui ornait l'autel et sortit de l'Eglise.