Prieres pour le repos de deux amis : Esomak et Fredido

Antlia arriva en la belle église de Montélimar, les cheveux recouverts d'un leger chale et poussa la lourde porte de l'important édifice.
Elle avait laissé Appoline à la maison, elle avait déjà tant de peine en elle .

Elle se signa puis s'avança dans la belle église, atmosphere feutrée mais légèrement froide en cette saison .

Elle arriva devant l'hotel et s'arreta net, une larme coulant sur sa joue . Antlia leva son joli visage, pris une profonde inspiration puis se dirigea vers un endroit ou les cierges étaient posés, sans lumière ..

A l'aide de sa lampe tempete, elle alluma une bougie, puis deux ... puis de nombreuses pour tous les disparus qu'elle avait connu .

Pour vous murmura t elle .

Puis elle alla se placer devant un banc, s'assied et commence à penser , à penser à eux deux , Esomak ..... pour qui elle avait proposé de quitter l'ost et de le suivre ... Pour Fredido avec qui elle avait eu tant de mots regrettables mais pour qui elle avait infiniment de respects .
ELle laissa ses larmes couler doucement, sans retenue .....



( hrp : anachronisme je le sais ... mais ne pouvant faire autrement ... j'aurai préféré qu'ils meurent quand Lady etait en bonne santé , en bref jamais, cela leur aurait evité de mourir ..... : sik ! /hrp)

Josselin entra et se recueillit longuement

Puis séchant ses larmes il récita un texte qui n'était pas de lui

Citation :

L'amitié c'est comme un arbre qui grandit

au fil des ans ses racines prennent de la vigueur et lui permettent

De devenir grande et forte

C'est de cette façon que la nôtre s'est développée

Nous avons vu grandir ce partage de notre quotidien

Je remercie tes “Forces” de t'avoir mis sur ma route

Ce fut l'un des plus beaux cadeaux

Tout comme Moi tu es un arbre qui a essuyé

Bien des tempêtes et des ouragans

Contre vents et marées

Nous avons toujours su garder plus ou moins le moral

Et régénérer nos forces dans les moments d'accalmie

Je sens un grand vide après ton départ

Va et repose en paix toi mon frère mon ami...

Bea entra dans l’église le cœur serré, jamais elle n’aurait pensé y revenir pour se recueillir pour des amis si proche.

Elle se signa en s’agenouillant les mains tremblantes de froid, quand elle aperçu Lady elle alla la rejoindre

Se mit a ses cotés restant silencieuse en priant imaginants mal ne plus revoir Fred leurs partis de fou rire en taverne leurs disputes même parfois, mais jamais leurs amitiés ne fut mise en doute, Eso qui était parti lui aussi elle eu une pensé pour Myrielle qui devait se retrouver bien seule

Les larmes lui montaient aux yeux ne pouvant cacher son émotion

Son père...son père adoptif qu'elle venait de perdre.. il était bien plus qu'un père a ses yeux, il était évidemment aussi son confident, son mentor, celui qui lui avait appris la vie aux cotés de sa moman Myrielle...

Draguione arriva en l'église de Montélimar, ses yeux gonflés de tant de larmes..les larmes qui ne cessaient de couler le long de ses joues depuis quelques jours. Elle ne pouvait se résoudre a lui faire un dernier adieux, pourtant elle le devait. Au bras de son époux Philipe, elle s'avançait dans l'église vêtu de noir, sa capeline en velours noir qui lui couvrait une bonne partie de son visage grisé par la tristesse..Antoine marchait devant eux, la main de Philipe posé sur son épaule comme pour le guider vers son grand père... Elle ne levait pas la tête, elle ne pouvait voir ses amis pleurer tant elle souffait de cette absence. Non, même pas qu'elle ne voulait pas les voir, mais elle ne voyait plus rien d'autre qu'un grand vide en elle...

Elle s'avança vers la dépouille de son popa et son ami Fredido également, non sans peine pour lui... Une main posée sur le bois qui entourait son père adoptif, Dragui tomba a genou devant lui, pleurant toute les larmes de son corps, celles qu'elle pleurait depuis qu'elle avait été avertie. Sa main ne lachait plus ce bois, et la Belle de Massilia se balançait telle une démente devant celui qui gisait là, en paix avec lui même. Celui qui l'avait sauvé de la mort à Dijon alors qu'elle était jeune enfant. Celui sur qui elle pouvait toujours compter et celui sur qui elle pourrait toujours compter dans ses prières... Eso laissait derrière lui ses deux filles, son épouse. Celle qu'il s'aimait a chérir avec tant de tendresse...

Draguione toujours agenouillé devant son mentor et papa, une main sur le bois, l'autre dans celle de son époux, elle se laissa aller à son chagrin. Philipe la regardait posant une main sur son épaule caché de noir, lui aussi était bien vide et triste de voir son beau père posé là en évidence, lui aussi pleurait un homme qu'il avait tant apprécié. Celui qu'il avait vu la première fois dans une taverne Valentinoise alors que Dragui venait a lui présenter.

Tout s'emballait un instant, les souvenirs , les rires et pleures qu'ils avaient eu ensemble lorsque le couple de Massilia était à Fougères et qu'ils s'écrivaient presque chaques jours pour donner d'heureuses nouvelles comme la naissance d'Antoine, ou des moins bonnes comme quand Philipe était entre la vie et la mort pendant qualques temps, le jour ou la Belle de Massilia était également gravement blessé, touché par une vil épée bretonne..

Ses lèvres ne pouvaient plus, sa machoire ne pouvait plus articuler un bon moment, elle cherchait une force intérieur, une force...celle de lui dire enfin au revoir même si au fond d'elle, elle ne le voulait pas. Une inspiration, prise... la main posé sur le bois ramené à ses yeux, elle essuya ses larmes doucement et dit alors tout bas ...

Popa, tu m'a guidé dans la vie, sache continuer à le faire, là où te trouve... Moman habite loin de moi maintenant, veille bien sur elle..Elle a besoin de toi, ne serait ce que d'un signe quotidien...

Au revoir mon popa...

Elle s'inclina sur la dépouille de son paternelle adoptif, déposant un baiser sur ses doigts avant de les y repédoser sur le bois qui enfermait son papa...

Draguione se releva un instant priant pour son salue et s'avança vers la dépouille de son Feu ami Fredido, posant son regard triste sur lui tout en priant avant de reculer de quelques pas et de s'installer dans un banc bien en avant de l'église Montilienne aux cotés de son époux Philipe et de leur fils Antoine...

fredido

Kevin arriva de lyon à pied en courant il était ému d'avoir apprit cette terrible nouvelle,

kevin entra dans l'églisetout de noir vêtu il s'avanca et se signa et alla prier

Fredido tu es pour moi la personne la plus respectable, la plus sympathique c'est toi qui m'a acuellit lorsque j'était tout petit tu m'a fait confiance et là tu n'est plus parmi nous

je suis triste mais je pense à toi

Kevin sorta de l'église le coeur ému