Narci, mon ami, mon frère, mon fils.
Quelle terrible perte as-tu subie...
Je ne sais qu'en dire. Je n'ai pas vécu cela.
Simplement, croire en la vengeance, tu l'as compris, est vain. C'est croire en l'amour qui te rend fort, et croire en l'avenir. La punition des mécréants, des assassins, c'est Aristote qui s'en chargera, ici ou dans l'au-dela.
Tu as choisi une voie courageuse, celle de la vie, celle de la raison.
Pour cela, en cela et grace à cela, tu es pardonné, mon fils, au nom d'Aristote le Tout-Puissant.
Qu'il t'aide à trouver la Paix en ton âme et l'Amour en ton Coeur.
Cristof se rassoit, épuisé par cette longue tirade et touché par le courage de NarciMore.